Bientôt je fus au seuil de ma forêt première, Hésitant à franchir l’orée particulière Où rodaient sans espoir les âmes désolées. Nos arbres se penchaient. Je me suis envolé.
Bientôt je fus au seuil de ma forêt première, Hésitant à franchir l’orée particulière Où rodaient sans espoir les âmes désolées. Nos arbres se penchaient. Je me suis envolé.
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Bientôt je fus au seuil de ma forêt première, Hésitant à franchir l’orée particulière Où rodaient sans espoir les âmes désolées. Nos arbres se penchaient. Je me suis envolé.
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