dimanche 28 octobre 2012

Bird

Tes doigts effleurent les touches, comme ta bouche
Happe le bec, qui vibre comme un oiseau mouche,
Tu pars dans un délire luxuriant de lyres,
Ta musique me touche, m'enroule et chavire.

2 commentaires:

  1. Bonjour JiEL,
    Un très bel hommage, aussi sensible que le film et en beaucoup, beaucoup moins long.
    4 vers suffisent à toucher l'âme.

    Amicalement

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    Réponses
    1. Merci Mali, ta propre sensibilité m'est précieuse...
      Amitié
      JiEl

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