La foule se ruait vers les portes des rames En se poussant du coude. Immobile, une femme Attendait sur le quai, regardant le lointain Des galeries noircies du métropolitain.
Ce poème évoque très bien l 'atmosohère du métro telle que je l'ai connue il y a une trentaine d'années.... je me souviens avoir perdu mon regard dans les couloirs sombres où seule une publicité pour les vins distrayait l'attention ....
PS : je ne vois pas le quatrain de samedi .... s'est-il perdu dans les méandres du métropolitain ?
Ce poème évoque très bien l 'atmosohère du métro telle que je l'ai connue il y a une trentaine d'années.... je me souviens avoir perdu mon regard dans les couloirs sombres où seule une publicité pour les vins distrayait l'attention ....
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