Le val a des relents de brume sur les prés, La faucille et la faux sont de rouille empourprées, Le fer de la charrue tout au contraire brille À labourer la terre et la mettre en guenilles.
écho à la brume donnant au val une impression de perte et de solitude. Le tout est accentué par la rouille qui se dépose sur les outils du travail quotidien. merci pour cette belle et nostalgique émotion !
Quelle joli poème hivernal ! Les "mottes en guenilles" font écho à l
RépondreSupprimerécho à la brume donnant au val une impression de perte et de solitude.
SupprimerLe tout est accentué par la rouille qui se dépose sur les outils du travail quotidien.
merci pour cette belle et nostalgique émotion !
Patricia Moles-Herreman